Le week end dernier j'étais sur Nice et Monaco
Je partage avec vous quelques images de NICE tout d'abord
Vendredi 13 mars
La gare de Nice-Ville (localement nommée gare Thiers) est une gare ferroviaire française de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière), située dans le quartier Thiers à proximité du centre-ville de Nice, préfecture du département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA). C'est la principale gare de la ville.
Elle est mise en service en 1865 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) et devient en 1928 une gare de bifurcation avec l'ouverture de la ligne de Nice à Breil-sur-Roya.
C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains de grandes lignes (trains internationaux vers Milan et Moscou, TGV vers Paris, Bruxelles, Monaco, Vintimille et des grandes villes de France, Intercités vers certaines métropoles régionales), et par des trains régionaux (TER Provence-Alpes-Côte d'Azur).
source wikipédia
sommes partis en train de notre ville -remarquez les anges de part et d'autres de l'horloge
en arrivant à l'hôtel tout près de la Gare, j'ai de suite pensé au blog
la moquette du couloir et le N° de la chambre : des coquelicots
sommes partis avec le frère de papamanou et sa femme
les filles décident de rester sur Nice
les hommes préfèrent se rendre sur Monaco , première journée du 10ème Grand Prix Historique de la ville
L'église fut édifiée entre 1864 et 1876. Cette église, voulue par le Père Lavigne, jésuite, brillant orateur, ami de Louis Veuillot que Mgr Sola avait nommé vicaire général des étrangers, voulait être « comme une sentinelle avancée aux portes de la ville, près de la gare, pour parler à l’âme des voyageurs et pour protéger la ville » : est maintenant vraiment au cœur de Nice. Le 8 avril 1876, elle devint paroisse pour « les quartiers des musiciens, Lépante et de la gare ». Elle fut consacrée le 12 mars 1925 par Mgr Louis-Marie RICARD. Et en 1978, sur la demande de Monseigneur Jean MOUISSET, le pape Paul VI a voulu souligner son importance et son rôle, en faisant d’elle une basilique mineure à l’égal des grands sanctuaires.
source http://nice.cef.fr/paroisse14.php
paroisse Notre Dame de l'Assomption
nous sommes sur l'avenue Jean Médecin et nous poursuivons notre chemin vers la place Masséna
L'avenue Jean-Médecin est une avenue du centre de Nice qui constitue un des axes de circulation nord-sud de la ville ; son code postal est 06000. En niçois, c'est officiellement l' « avenguda Jouan-Medecin, consòu de Nissa ». Elle apparaît comme l'artère commerçante principale de Nice et est désignée par les Niçois comme « l'Avenue »
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La place Masséna est une place du centre-ville de Nice, désignée ainsi en hommage au maréchal d’Empire André Masséna, niçois de naissance. Depuis sa construction progressive à partir des années 1820-1830, la place Masséna s’est profondément inscrite dans le patrimoine niçois. Elle est un « joyau » de la ville (Édouard Scoffier dans son œuvre, réalisée avec Felix Blanchi, sur le Consiglio d'Ornato) et un espace central de la ville de Nice.
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Marquée par ses singularités autant architecturales que géométriques, la place Masséna a fort bien traversé ses presque deux siècles de vie niçoise. En effet, plusieurs fois sujette à des plans d’aménagement, elle s’est imposée petit à petit comme un centre névralgique de la cité, idéalement placée entre le Vieux-Nice et l'avenue Jean-Médecin et à proximité de la célèbre promenade des Anglais. De par son importance dans les transports de la cité, sa position géographique ainsi que par l’accueil de manifestations de toutes sortes, culturelles, sociales, politiques voire artistiques, elle est devenue un haut lieu du patrimoine niçois. Derrière ce terme de patrimoine culturel il faut évidemment y voir, non pas un élément du passé, mais bien une entité participant au foisonnement et à l’effervescence de la culture niçoise.
La place Masséna est aussi un lieu éminemment important pour la diffusion de cette identité niçoise tant elle permet la rencontre de l’autochtone avec le touriste tout autant que la découverte de la culture niçoise, à travers notamment le carnaval, aux personnes étrangères à la ville. Les origines de ce symbolisme sont peut-être à trouver dans son nom même, celui du maréchal André Masséna, patriote français fermement attaché à ses origines niçoises qui symbolise peut-être une certaine dimension nationale dont la place dispose. Toutes ces spécificités font de cet espace un lieu unique que les Niçois n’hésitent pas à défendre et préserver, tant ils sont conscients de l’importance qu’il représente dans leur patrimoine.
Pensée, à la base, dans un plan général pour l’embellissement de la ville de Nice, elle peut être considérée comme l'une des plus belles réussites du Consiglio d'Ornato.
source wikipédia

la nuit
photo source wikipédia
un bel Apollon au bout de la place
et bien sur direction la promenade des Anglais, je vous montre pour le moment juste la mer
La promenade des Anglais est une avenue longeant le bord de mer (baie des Anges), à Nice.
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direction le vieux Nice
Le Vieux-Nice est la partie ancienne de la ville de Nice.
Il est animé le jour par de nombreux commerces, pouvant être aussi bien extrêmement typiques (vente d'olives et d'épices de toutes sortes, de légumes locaux ou de fleurs de la région) que très modernes (boutiques de vêtements à la mode, nombreux tatoueurs) ainsi que des galeries d'artistes. La nuit, il est un lieu de rendez-vous et de sortie pour les niçois. Ses ruelles étroites sont en effet jalonnées de restaurants, de pubs et de boîtes de nuit de toute sorte.
Ses habitants parlent aussi de la « vieille ville » (vièia vila en niçois). Autrefois, le surnom de babazouk lui était également donné, adaptation locale de l'expression arabe signifiant la « porte du souk ».
Le Vieux-Nice est bordé :
Le quartier comprend plusieurs bâtiments administratifs comme la mairie ou encore le Palais de justice. On y trouve aussi l'Opéra de Nice.
source wikipédia
retour à l'hôtel après 4 heures de balade entre commerces et visite de la ville (moi, je connaissais)
vue de l'hotel1 de ce joli bâtiment, normalement notre Hôtel la nuit suivante et puis NON
Nous passons la journée de samedi 14 mai sur MONACO (objet d'un autre article)
Dimanche 15 mai
ma belle-soeur reste à l'hôtel car fatiguée et enrhumée
papamanou et moi, rejoints par le beau-frère décidont de se balader sur la promenade des Anglais car il fait super beau !
On attend notre train de 14H et il est "que" 10H
vue du 2ème hôtel, nous sommes près de la mer qu'on aperçoit au fond et tout près de la place Masséna
LES CHAISES BLEUES DE LA PROMENADE DES ANGLAIS
Devenue un des symboles de Nice, la « chaise bleue » assure le repos des promeneurs sur la Promenade des Anglais depuis 1950.
C’est cette année là que le Tourrettan, Charles Tordo, employé dans une entreprise de maintenance des trains, se voit confier la fabrication de huit cents chaises par Monsieur Ballanger, détenteur de la concession des chaises de la Promenade, dont l'usage était payant. Charles Tordo, était connu pour son esprit inventif, son habileté, et ses créations multiples brevetées, notamment des meubles convertibles.
Après sa journée de travail, de retour à Tourrette-Levens, avec l’aide de sa famille, il consacrait ses soirées et ses dimanches à la fabrication des chaises. En hêtre de Peira Cava ou en platane, le bois était séché, puis débité en lamelles ; la ferronnerie était mise en forme sur une cintreuse de sa fabrication. Quant à la peinture (blanche au début), elle était appliquée dans la rue.
Ayant rejoint l’entreprise de Monsieur Ballanger, il en profita pour améliorer le rendement en créant une machine à peindre les chaises. La fabrication a cessé dans les années 70.
En 1969, son fils Louis et son gendre Gilbert Belgrano lui succèdent et créent la société Tordo - Belgrano (Torbel), spécialisée dans les ferrures du bâtiment. Aujourd’hui, la société s’est implantée dans plusieurs pays d’Europe et est devenue leader dans les fermetures du bâtiment et les clôtures, mais ses activités fonctionnelles restent regroupées à Tourrette-Levens.
Un hommage de la municipalité de Tourrette a été rendu à l’artisan, l’inventeur, mais aussi l’ancien combattant de l’armée des Alpes (1939-1945), Charles Tordo : le square, non loin de son atelier, a été baptisé de son nom, et agrémenté d’une sculpture de Jean Pierre Augier, artiste né à Nice, et dont l’atelier est installé à Saint Antoine de Siga, entre Levens et Saint-Blaise.
A Nice, c’est Armand Pierre Fernandez, dit Arman (né à Nice en 1928, mort à New York en 2005), qui rend hommage aux chaises bleues sous forme d’une accumulation monumentale : « Camin dei Ingles, 2004 », composée de plusieurs centaines de ces chaises réformées par la municipalité.
D’après les documents aimablement fournis par la petite fille de Charles Tordo, Madame Gisèle Tordo.
source http://www.lecomtedenice.fr
Sabine Géraudie est avant tout une décoratrice d'intérieur et une artiste peintre mais elle a conçu toute une gamme de produits dérivés qui s'inspirent de la chaise bleue niçoise conçue par Charles Tordo en 1950 et devenue depuis le symbole de la promenade des anglais. Tableaux, sculptures et même bijoux de séries ou pièces uniques, chacun peut emporter un petit morceau de la Riviera.
source http://culturebox.francetvinfo.fr
pas de commentaires : on admire le paysage, les couleurs !
sans oublier le NEGRECO où Manou se la joue très star ! le festival de Cannes n'est pas loin ;)